Chez Maisons SIC, Denis Broqua est en charge des travaux d’isolation et des panneaux et cloisons en plaques de plâtre ou de bois, qu’il assemble au plafond et au mur. Il nous en dit plus sur son métier de plaquiste et son attachement à l’entreprise Maisons SIC, pour laquelle il travaille depuis plus de 20 ans.
Le parcours de Denis Broqua chez Maisons SIC
Denis Broqua est devenu plaquiste… par amour. Il y a une trentaine d’années, il découvre en effet le métier de plaquiste par le frère de sa petite-amie de l’époque. Très intéressé, il décide alors de se lancer dans cette nouvelle formation (Denis était tout d’abord mécanicien) et suit des études au Pas de la Case.
Au fil de sa vie et de ses rencontres, il déménage ensuite à Agen où il est embauché dans une grosse entreprise d’Agen, “qui m’a permis d’en apprendre un peu plus car c’est un métier qui s’apprend petit à petit.” Puis il se retrouve à bouger à nouveau et travaille dans une autre entreprise de plaquo à Buzet sur Baïse. “J’ai encore appris de nouvelles choses pour gagner du temps, moins s’embêter.” Il arrive enfin, en 2000, au sein de Maisons SIC.
Maisons SIC, une entreprise de coeur
Denis Broqua est très attaché à Maisons SIC, “une très belle maison”, selon lui. Il explique : “j’ai eu la chance de connaître le fondateur, qui est une référence pour moi. Il est parti tout seul, de rien, tout petit et il a construit une belle entreprise, une belle réussite.”
Pour lui, les valeurs humaines de Maisons SIC sont liées aux bons éléments de l’entreprise, qui font sa réussite car tous les ouvriers disposent d’une excellente image et sont d’un très grand professionnalisme.
Les différentes étapes de travail d’un plaquiste au sein d’une maison individuelle en construction
Quand le plaquiste arrive sur un chantier de construction de maison neuve, la maçonnerie est faite et il faut alors s’attaquer à toute l’isolation. Après avoir fait sa commande de matériau et avoir tout réceptionné, le plaquiste vérifie la hauteur de plafond sur les plans et commence, justement, par les plafonds. Il les ferraille, mets les suspentes et trace les cloisons au sol et les doublage. Puis il pose les pions selon les emplacements précisés dans le plan et, depuis les plafonds, au fur et à mesure, descend ses câbles les uns après les autres.
Denis Broqua précise : “une fois que les plafonds sont faits, je m’attaque au doublage, à l’isolation. Je pose la laine de verre. Puis je plaque par-dessus. Pour pouvoir tenir les cloisons et le doublage, on est obligés de débuter par les plafonds. Comme la laine de verre à souffler est posée en dernier, au dessus, avoir déjà travaillé les plafonds facilite beaucoup le travail d’isolation. Ainsi, avec les doublages, cela forme une isolation complète et hermétique.”
Une fois que tout cela est fait, le plaquiste trace au sol, il « spitte » avec un pistolet qui met des pointes dans le béton. Puis il fixe les rails au plafond, mets des montants tous les 60 cm, doublés. Enfin, il plaque un côté, met de la laine de verre, puis re-plaque et en même temps passe les câbles.
Pour une maison de 100m2, quand le plaquiste est seul, il faut compter 3 semaines maximum, pour faire tout le travail d’isolation.
Plaquiste : un métier utile, qui permet aux clients de mieux se projeter
Celui qui se prédisposait, au départ, à devenir mécanicien d’entretien a préféré le métier de plaquiste , un métier complet, qui permet d’opérer plusieurs tâches à la fois et de travailler avec de nombreux autres corps de métier.
Comme Denis Broqua le fait valoir, le métier de plaquiste est d’autant plus utile et demandé qu’on utilise désormais, dans la construction des maisons ou dans les travaux, plus que du placo, là où l’on travaillait auparavant avec de la pose de plâtre).
Le passage du plaquiste est également primordial pour les clients : “cela leur permet de mieux voir comment avance leur maison. Parce que, quand on arrive et qu’on commence à faire les cloisons ou les doublages, les clients commencent à mieux se rendre compte du volume de chaque pièce. Ils ne le voient pas avant. Et ça leur plait, de voir concrètement comment les pièces sont disposées. C’est plus “pratique” pour eux que de voir ça sur un plan.”
Retrouvez tous les détails de ce chantier et l’interview de Denis en vidéo. D’autres films, disponibles via ce lien, vous feront découvrir la vaste palette des métiers et des savoirs faire des collaborateurs Maisons Sic.
